01/11/2014

27/09/2012

Site Internet

Vous pouvez désormais découvrir l'ensemble de ma production,
sur mon site internet: www.catherinenicolas.com

A très bientôt

26/08/2012

Détails


31/08/2011

10/08/2011

Détail


" La fusion des cellules "

Toile sur chassis / 130 x 95

20/06/2011

Détail


Nouvelles déchirures et nouvelles peaux

18/06/2011

Détail


Le labyrinthe des faux-jumeaux

25/05/2011

Détail


Mandala 1

13/05/2011

Détail


Fragments de cellules éparses de faux-jumeaux


14/04/2011

Exposition personnelle en 2011 :

- Dans le cadre de la 4ème Biennale Hors Normes à Lyon ( 69008 ) sur le site de l'Espace La Passerelle / MJC Montplaisir / du 6 octobre au 21 octobre 2011 / "Les hystoires des fresques".

20/03/2011

Expositions collectives en 2011 :

-Atelier BALIAS / Château de Serans . ECOUCHE ( 61 ) / du 21 mai au 18 septembre 2011 / "Les hystoires des faux-jumeaux" / peintures, gravures, dessin et photos-installations .
- Exposition des 6 artistes en résidence du 26 décembre 2010 au 11 janvier 2011 / avec le HMC, Inc and Frenkvarosi / à la PinceGallery IX de BUDAPEST, Hongrie / du 26 mai au 19 juin 2011 / "Les hystoires des faux-jumeaux à BUDAPEST", livre-boîte-carte unique + "Hystoires sans paroles des faux-jumeaux à BUDAPEST".
- "Library thoughts" / Raday Könyveshaz et Gallery de BUDAPEST, Hongrie / du 24 aout au 5 septembre 2011 / livre d'artiste .
- Maison des Arts d'ANTONY ( 92 )/ du 20 septembre au 11 octobre 2011 / collectif de 5 artistes / Hystoires des fresques, de LOU-han, à la récré, des faux-jumeaux et des cabanes vivantes .

11/03/2011

06/03/2011

Sites d'art contemporain avec textes / critiques

http://www.artpointfrance.info/article-catherine-nicolas-57735130.html
26 septembre 2010

http://artup-tv.com/fr/64-article-catherine-nicolas.html
3 février 2011

Hystoires des cabanes vivantes / 2

" Oedipe enferme les enfants ( et les adultes ) dans l'espace-temps familial qui suture et ligature les lignes de fuite susceptibles de frayer une voie aux machines désirantes crées et mises en mouvement par les jeunes enfants . Dans ces conditions, les forces de désir font immanquablement irruption ."

Qu'est-ce que se mettre à l'école des enfants ? Comment retrouver les potentialités créatrices de ce territoire perdu ? Voilà le type de questions que semblent vouloir nous chuchoter les oeuvres de Catherine Nicolas . Car, à l'évidence, ces hystoires de cabanes vivantes ne font appel à ce qui, dans la conscience d'un homme, lui permet de mener une vie raisonnable et pondérée mais, au contraire, à cette faculté plus originelle et plus fondamentale qui l'autorise, parfois, à vivre ses rêves comme s'ils appartenaient de plein droit à la réalité .

Mais, qu'est-ce que l'enfance sinon une manière de conférer au monde un sens ésotérique ? Et par ésotérique, il ne faut pas entendre un sens obscur ou délirant, mais un sens caché qui n'appartient qu'à une petite communauté : autrement dit, qu'à " une bande de potes " capable de transformer, par la seule force de la pensée, un simple bout de bois, une boîte de carton, en bout de ficelle ou que sais-je encore, en un objet hors du commun _ en un objet-trésor .

Que ce soit dans son oeuvre intitulée Le pylône de vie, ou bien dans cette autre au nom encore plus évocateur, L'âge d'or, Catherine Nicolas ne réclame de ses spectateurs qu'une seule chose : qu'ils osent, à l'instar des petits d'hommes qui peuplent ses créations, s'élever au dessus de la terre - le temps d'une émotion au moins, pour retrouver en eux la magie de leur enfance . Car c'est à cette conditon, et à cette condition seulement, qu'ils pourront saisir ce qui se cache d'infiniment fragile et merveilleux dans ces oeuvres .

Texte de Frederic Charles Baitinger

05/03/2011

Hystoires des cabanes vivantes / 1

" Inter caelicolas fabula muta taces ". Ainsi, tandis qu'un enchantement réduit les hommes au silence, la nature enchantée prend la parole . En échangeant de la sorte parole et silence, histoire et nature, la fable prophétise son propre désenchantement dans l'histoire. " Giorgio Agamben

Telle une braise, couvant sous la cendre, l'enfance n'est pas seulement une période bien particulière de la vie humaine, mais un territoire imaginaire aussi . Survivant à l'ombre de nos vies d'adultes, sa force n'attend, bien souvent, qu'une occasion propice pour reprendre souffle et vie . Ecartant alors d'un geste ce qui s'interpose entre sa légèreté et les pesanteurs de nos quotidiens raisonnables, elle redonne à l'âme qu'elle posssède cette possibilité folle de vivre à nouveau parmi ses rêves - dans ce no man's land où les souvenirs sortent de la mémoire pour venir peupler le réel .

Fidèle à cette flamme, Catherine Nicolas est le jouet de cette enfance - de cette force sauvage et téméraire qui la pousse à créer de drôles de peits personnages habitant dans des cabanes, des huttes, ou des tipis et qui, sans pour autant nous donner la clé de leur royaume, nous invitent à les suivre dans leurs pérégrinations les plus saugrenues . Elisant tantôt un arbre, tantôt un pylône, tantôt une simple grille de fer pour supporter leurs constructions précaires, ces petits hommes aux jambes démesurément longues et aux visages lunaires semblent vouloir nous dire : " Voyez, ce que nous gardons là, c'est un trésor . Et si vous n'êtes pas capable de le voir, ce n'est pas de notre faute à nous, mais de la vôtre . Car, si vous ne les voyez pas, c'est que vous avez perdu vos yeux d'enfant. "

Journaliste, philosophe et critique d'art pour Artpointfrance et Artension .

23/01/2011

Alone in Transylvalnie

21/01/2011

19/01/2011

Installation1 / sculptures et textes / bois, métal, acryliques, encre chinoise, Play-Doh, crayons, calques

Carte pliée

Couverture de la boîte

détail8

détail7

détail6

détail5

détail4

18/01/2011

detail3

détail 2

détail 1

Carte ...

30/12/2010

Les fumées de Széchenyi

Les touts petits faux-jumeaux

Les triplés de Nyugati

22/11/2010

Texte de Frederic-Charles BAITINGER

Le mythe de l’androgyne :

« D’abord, il y avait trois espèces d’hommes et non deux, comme aujourd’hui : le mâle, la femelle, et outre ces deux là, une troisième composée des deux autres, le nom seul en reste aujourd’hui, l’espèce a disparu : c’était l’espèce androgyne, qui avait le nom et la forme des deux autres. »

Platon, Le Banquet

Platon, dans son livre « Le Banquet », parle de l’amour comme étant la quête de notre moitié perdue, comme si la différence des sexes ne signifiait pas seulement la possibilité d’une union charnelle mais, la reformation d’un être auto-suffisant : d’un androgyne, autrement dit d’un être n’étant ni un homme, ni une femme, mais la réunion harmonieuse de ces deux caractères, en apparence contradictoires.
Et si Catherine Nicolas, en prenant pour thème de son travail l’idée d’une fausse gémellité, ne faisait que poursuivre sur le mode de la fiction ce mythe énoncé par Platon ? Voilà en tout cas, une question qui mérite d’être posée, car à travers ses hystoires de faux-jumeaux, Catherine Nicolas ne se contente pas de mettre en scène la croissance, puis la séparation de deux ovules ayant une naissance commune, mais plus profondément peut-être, elle donne un corps et un visage à la structure sous-jacente qui articule notre relation aux autres.
Or, si l’on en croit Platon, ce qui se joue d’éminemment complexe entre les Hommes (ce qui les attire et les sépare dans le même temps) n’est autre que ce qu’incarne la figure du demi-dieu Eros ; demi-dieu tantôt représenté sous les traits d’un homme (Mercure), tantôt sous les traits d’une femme (Vénus), mais bien plus souvent encore sous les traits d’un enfant céleste (Cupidon) capable de rendre fou d’amour les Hommes.
Ce n’est donc peut-être pas un hasard si Catherine Nicolas clôture sa série d’hystoires par une série de portraits d’enfants ; portraits qui, sans pour autant relever directement de la thématique des faux-jumeaux, en incarnent la dimension la plus profonde et la plus troublante : non pas l’idée de la distinction des sexes, ni moins encore celle de leur possible réunion, mais l’image même de leur relève et de leur autodépassement.

Frédéric-Charles Baitinger

Journaliste, philosophe et critique d’art pour Artpointfrance et Artension

Texte de Frederic-Charles BAITINGER

Lou-Han ou les hystoires du chagrin réfléchi

« Nous ne cherchons pas ce qui appartient au présent, mais ce qui appartient au passé, non pas la joie, car elle appartient toujours au présent, mais le chagrin, qui par sa nature même, passe rapidement, et qui ne se laisse voir qu’à la dérobée, comme un homme qu’on aperçoit à l’instant même où il tourne le coin pour prendre un autre chemin et disparaître. »
Søren Kierkegaard

Si Marguerite Duras confesse avoir écrit l’Amant autour d’une seule image mentale – d’une seule photographie, que dire des hystoires de Catherine Nicolas sinon qu’elles s’apparentent à ce type d’expression flottante – ou plutôt, comme en quête d’un souvenir à jamais enfoui. Lou-Han. Ni tout à fait réel, ni vraiment imaginaire. Lou-Han enfant d’Asie ; enfant mythique ; enfant perdu. Qui es-tu ? Voici peut-être la question que nous adressent en sourdine ces oeuvres – car dans le dédale de songes où nous entraine l’artiste, son image semble vouloir se perdre dans les détours de sa fantaisie ; Lou-Han – prénom souvenir dont les éclats ont fini par reprendre vie dans une autre âme.
Un visage, une bouche – Beijing. En un instant, l’ombre d’une absence a germé sur le vide. Et la bouche de l’artiste a chuchoté son premier poème ; et ses mains ont tracé ses premiers dessins ; et son esprit a fomenté son premier récit. D’une ombre entr’aperçue Catherine Nicolas a enfanté un mémorial ou plutôt, une offrande votive dédiée au culte de Mnémosyne – divinité étrange et impalpable protégeant l’entrée du palais de sa mémoire. Lou-Han souvenir obstacle ; Lou-Han souvenir mythique. L’art, ici, n’est plus au service de l’idéal mais de l’expression plastique d’une émotion intime – d’un sentiment de perte et d’abandon. C’est pourquoi Lou-Han ne désigne pas seulement une personne physique mais un archétype : il incarne l’amour en son retrait, le don repris – et l’impossible repentir de celui qui a aimé de tout son coeur.

Frédéric-Charles Baitinger

Journaliste, philosophe et critique d’art pour Artpoinfrance et Artension

1 « Le présent est oublié, l’extérieur percé, le passé ressuscité, la respiration du chagrin est facilitée. L’affligé se sent soulagé, et le chevalier sympathisant du chagrin se réjouit d’avoir trouvé ce qu’il cherchait, car nous ne cherchons pas ce qui appartient au présent, mais ce qui appartient au passé, non pas la joie, car elle appartient toujours au présent, mais le chagrin, qui par sa nature même, passe rapidement, et qui ne se laisse voir qu’un instant, comme un homme qu’on aperçoit à l’instant seulement où il tourne le coin pour prendre un autre chemin et disparaître. », Søren Kierkegaard, Ou bien Ou bien.

15/10/2010

- le 15, 16 et 17 octobre 2010 / " TERRITOIRE " / dans le cadre des portes ouvertes des ateliers d'artistes de MONTREUIL ( 93100 ) " Les hystoires des faux-jumeaux, d'octobre 2009 à octobre 2010 " : Court-métrage de Catherine NICOLAS, montage de Claude SILVER / 19mn42 .

13/10/2010

Eux ... et nous ?

10/09/2010

Vente aux enchères, expositions et résidences d'artistes

- Expo /collectif de 60 artistes de la Galerie Singul'art : à Praz-sur-Arly (74)du 18 février au 6 mars 2011 / ... suite : " Hystoires des faux-jumeaux à Budapest"
- "Les petites cabanes précieuses de Singul'art, LYON ( 69001 ) / Vente aux enchères au profit de Notre-Dame des sans abris, le 16 décembre 2010 / Exposition des oeuvres du collectif du 13 au 19 décembre 2010

- Galerie Singul'art, LYON (69001)/ "Le bateau de Noël", Exposition avec les 6 artistes du collectif / du 17 décembre 2010 au 19 janvier 2011 / "Petites notes ... sur les faux-jumeaux" : Fresques et cabanes vivantes ...

- Résidence d'artistes à BUDAPEST, Hongrie / du 27 décembre 2010 au 11 janvier 2011 + Conférence des 7 artistes en résidence, HMC/Medosz, VI, Jokai ter 9, Hunting Conference Room : le 29 décembre 2010 .

04/09/2010

27/08/2010

La ruche à alvéoles

Détails de la ruche cellulaire de Lou-han

La ruche cellulaire de Lou-han

31/07/2010

Les jumeaux de juillet